Ørsted présente ses recommandations pour une Belgique plus verte
La Belgique peut devenir leader européen de l'énergie éolienne en mer
À l'heure où les appels en faveur des énergies renouvelables se font de plus en plus pressants, Ørsted, numéro un mondial de l'énergie éolienne en mer, formule des recommandations pour contribuer à transformer l'avenir du paysage énergétique belge. Un cadre réglementaire stable et des engagements politiques à long terme sont essentiels pour assurer la sécurité des investisseurs et fournir aux consommateurs belges une énergie renouvelable et abordable. Dans notre mémorandum, nous formulons une série de propositions qui permettent d'atteindre les objectifs climatiques ET de réduire les coûts de l'énergie pour les ménages et les entreprises belges.
L'expansion prévue par le gouvernement belge de la zone Princesse Elisabeth (ZPE), une zone de la mer du Nord appelée à devenir le cœur battant de la révolution verte de la Belgique, occupe une place prépondérante dans notre document. Avec une capacité prévue de pas moins de 3,5 GW en énergie éolienne, la ZPE dispose du potentiel de fournir une partie substantielle des besoins énergétiques de la Belgique avec de l'électricité propre et renouvelable.
Les clés du succès : une période de construction plus longue et une infrastructure terrestre robuste
Cette expansion s'accompagne d'un coût élevé, dont nous sommes convaincus qu'il peut être revu à la baisse. À une condition essentielle : que la période de construction en mer passe de quatre à cinq ans. « Cet ajustement apparemment minime peut faire toute la différence », explique Ruben Dijkstra, directeur général d'Ørsted Benelux. « En donnant plus de flexibilité aux entreprises de construction, nous pouvons réduire les coûts de manière significative tout en augmentant la qualité et l'efficacité de nos parcs éoliens. »
La deuxième condition pour atteindre les objectifs climatiques de la Belgique et pour réduire les factures d'énergie, c'est de disposer d'une infrastructure énergétique terrestre robuste. La réalisation rapide des raccordements entre mer et terre, Boucle-du-Hainaut en Wallonie et Ventilus en Flandre, n'est rien moins qu'essentielle pour transporter efficacement l'énergie éolienne de la mer du Nord vers les ménages et les entreprises belges.
Vers des énergies renouvelables : la Belgique est à présent à un carrefour
« Nous nous trouvons à un carrefour », souligne M. Dijkstra. « Avec ce plan, la Belgique peut passer du statut de pionnier de l'énergie éolienne en mer à celui de leader européen. Il s’agit non seulement d’un grand pas en avant dans notre lutte contre le changement climatique, mais cela ouvre également la voie à de nouvelles opportunités économiques et à la création d’emploi dans le secteur des énergies vertes. »
Ørsted en appelle à présent à toutes les parties prenantes - des décideurs politiques au grand public en passant par les partenaires industriels - à prendre connaissance de son plaidoyer et à s'engager dans un dialogue sur cette transition énergétique cruciale.
Envie d'en savoir plus sur la façon dont la vision d'Ørsted peut façonner votre avenir et celui de la Belgique ? Lisez le document complet sur et découvrez comment nous pouvons ensemble mettre le cap sur une Belgique plus durable et plus prospère.
L'expansion prévue par le gouvernement belge de la zone Princesse Elisabeth (ZPE), une zone de la mer du Nord appelée à devenir le cœur battant de la révolution verte de la Belgique, occupe une place prépondérante dans notre document. Avec une capacité prévue de pas moins de 3,5 GW en énergie éolienne, la ZPE dispose du potentiel de fournir une partie substantielle des besoins énergétiques de la Belgique avec de l'électricité propre et renouvelable.
Les clés du succès : une période de construction plus longue et une infrastructure terrestre robuste
Cette expansion s'accompagne d'un coût élevé, dont nous sommes convaincus qu'il peut être revu à la baisse. À une condition essentielle : que la période de construction en mer passe de quatre à cinq ans. « Cet ajustement apparemment minime peut faire toute la différence », explique Ruben Dijkstra, directeur général d'Ørsted Benelux. « En donnant plus de flexibilité aux entreprises de construction, nous pouvons réduire les coûts de manière significative tout en augmentant la qualité et l'efficacité de nos parcs éoliens. »
La deuxième condition pour atteindre les objectifs climatiques de la Belgique et pour réduire les factures d'énergie, c'est de disposer d'une infrastructure énergétique terrestre robuste. La réalisation rapide des raccordements entre mer et terre, Boucle-du-Hainaut en Wallonie et Ventilus en Flandre, n'est rien moins qu'essentielle pour transporter efficacement l'énergie éolienne de la mer du Nord vers les ménages et les entreprises belges.
Vers des énergies renouvelables : la Belgique est à présent à un carrefour
« Nous nous trouvons à un carrefour », souligne M. Dijkstra. « Avec ce plan, la Belgique peut passer du statut de pionnier de l'énergie éolienne en mer à celui de leader européen. Il s’agit non seulement d’un grand pas en avant dans notre lutte contre le changement climatique, mais cela ouvre également la voie à de nouvelles opportunités économiques et à la création d’emploi dans le secteur des énergies vertes. »
Ørsted en appelle à présent à toutes les parties prenantes - des décideurs politiques au grand public en passant par les partenaires industriels - à prendre connaissance de son plaidoyer et à s'engager dans un dialogue sur cette transition énergétique cruciale.
Envie d'en savoir plus sur la façon dont la vision d'Ørsted peut façonner votre avenir et celui de la Belgique ? Lisez le document complet sur et découvrez comment nous pouvons ensemble mettre le cap sur une Belgique plus durable et plus prospère.